| Résumé: |
Le lien entre la santé et l’activité physique est représenté dans la première partie du travail. Le travail met en évidence les conséquences négatives comme le surpoids et d’autres maladies suite au manque d’activité physique. L’inactivité physique et la surcharge pondérale touchent déjà les jeunes et les enfants.
On assiste depuis quelques décennies à une forte diminution de l’activité physique contre laquelle les politiques sanitaires et publiques, comme l’Organisation Mondiale de la Santé, veulent lutter. Elles font la promotion de l’activité physique et en particulier de la mobilité douce parce que se déplacer à l’aide de la mobilité douce nous permet de pratiquer une activité physique régulière à bas prix tout en l’intégrant dans le quotidien. La diminution de la mobilité douce provient surtout des modifications de modes de transport, de la répartition modale et du changement du rapport distance- temps et du tissu urbain.
Dans la deuxième partie, une analyse de la mobilité douce (les déplacements à pied et à vélo) et de l’activité physique (intensive et modérée) dans les cantons de Genève et de Vaud, qui se base sur le microrecensement des transports 2005, est élaborée. D’une part, elle montre que l’âge et le sexe influencent l’activité physique et la mobilité douce : les femmes les pratiquent moins et une diminution avec l’âge se fait également remarquer. D’autre part, les résultats nous indiquent que la typologie du domicile n’influence presque pas la mobilité douce et l’activité physique. Cependant, il y a une différence entre les jours de semaine et le week-end. Ces analyses permettent d’adapter la promotion d’une activité physique régulière aux groupes ciblés.
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