| Cote: | 28 |
| Auteur: | DESCHENAUX Eloïse |
| Année: | Septembre 2016 |
| Titre: | EULAR : comment évoquer la durabilité lorsqu’il s’agit d’organiser un des plus grands congrès de médecine européens ? |
| Sous la direction de: | Prof. Mathis Stock |
| Type: | Mémoire de master en études du tourisme |
| Pages: | 48 |
| Complément: | 15 pages d'annexes paginées (entretiens, tableaux de données, lexique) |
| Mots-clés: | Industrie des congrès / durabilité / globalisation / instruments de mesure / digitalisation |
| Résumé: | Les congrès internationaux, à l’instar du tourisme, sont des événements très onéreux. Qu’ils s’agissent de coûts économiques, sociaux ou environnementaux, le bilan de leurs impacts reste majoritairement négatif. A l’heure où les mobilités se décuplent, il semble difficile de révoquer l’organisation de tels événements afin d’éviter la plus grande source de pollution que sont les transports. Les congrès de médecine sont ainsi décriés pour leur manque de conscience environnementale. Néanmoins, les rencontres en personne sont pressenties comme un réel besoin dans un monde toujours plus digitalisé. Des projets sont alors entrepris afin de compenser les impacts des déplacements internationaux. Les mesures dites « sustainable » président la tendance actuelle et de nouveaux codes s’établissent progressivement à différents niveaux. Le cas de l’agence MCI et du congrès EULAR sera étudié afin de mettre en lumière les collaborations, les jeux d’acteurs et les moyens mis en œuvre au fil des cinq dernières années (2012 à 2016) en marge de projets plus durables. |