| Résumé: |
L'immobilier résidentiel se caractérise d'une part par une position dominante de l'offre et, d'autre part, par une concurrence intensive entre les bureaux immobiliers. De là, l'intérêt de communiquer le plus vite possible des biens adéquats aux clients. Ainsi se pose la question des outils nécessaires et adaptés pour y réussir, afin de renforcer la position de l'entreprise sur le marché.
Un des enjeux principaux pour les agents immobiliers constitue alors l'optimisation de la vente et de la promotion de biens résidentiels. Les décisions prises dans ce domaine pèsent lourd, par conséquent, il paraît important de prendre en compte des divers facteurs potentiellement décisifs ; il s'agit de facteurs relatifs au bâtiment et à sa situation géographique. L'approche du géomarketing soutient cette initiative, en faisant recours à des paramètres spatiaux, ce qui permet en effet de cibler, sur un certain espace géographique, des biens ou des personnes selon des caractéristiques spécifiques. Le système d'information géographique (SIG) représente l'outil informatique adéquate pour une telle analyse spatiale. Il permet de décrire la complexité de l'organisation du territoire.
Grâce à un questionnaire, les facteurs de localisation réputés décisifs ont pu être identifiés et caractérisés. Certains critères de localisation reviennent très souvent, pourtant, ce qui change d'un client à l'autre, c'est l'importance leur étant attribuée. Quelques facteurs évalués sont repris pour une illustration SIG qui vise une analyse offrant une aide à la décision en proposant une pré-sélection de certaines zones d'habitat selon des critères « pondérés ». L'expression des préférences des clients garantit une certaine individualité des prises de décision. Ainsi, l'attractivité d'un terrain change en même temps que l'importance attribuée aux informations à dispostion. En plus, l'exemple du SIG attire l'attention sur les possibilités et les obstacles à franchir pour un SIG dans ce domaine immobilier en forte concurrence.
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