| Résumé: |
L'apparition des entreprises transnationales dans les pays en développement ont des conséquences bien précises. Les gouvernements de ces pays, parfois submergés par la dette extérieure, ont besoin de ces agents économiques pour pouvoir faire face à de situations désastreuses de chômage ou de pauvreté.
La privatisation des biens et des services est l'une des caractéristiques plus fréquentes pour atteindre une efficacité économique et des profits en constante augmentation. Une des entreprises transnationales plus connues au niveau mondial est Nestlé, géant suisse de l'agroalimentaire.
La vague de privatisation a suscité, parfois, la réaction de certains groupes d'acteurs locaux surtout quand le bien en question est essentiel à la survie. L'eau est l'un des ce biens. Cet élément naturel est devenu intéressant aussi pour certaines entreprises qui y voient une source de profit. Les conséquences que la gestion souvent irrationnelle de l'or bleu engendre sont parfois catastrophiques, soit pour l'environnement écologique, soit pour les populations touchées.
L'analyse du marché du travail montre aussi les particularités de l'implantation des entreprises transnationales dans un pays qui a besoin des firmes étrangères pour créer des emplois. La précarisation de l'emploi qui en résulte a des incidences importantes sur la population locale, dans le cas spécifique celle colombienne, qui est déjà frappé par un important conflit social interne.
Malgré le modèle neolibéral est en train de s'appliquer un peu partout dans l'économie mondiale, mais pas tout le monde est d'accord avec ses principes notamment par les effets sur les plus démunis. L'exemple le plus célèbre d'opposition à ce modèle économique lancé contre la transnationale suisse à la fin des année septante et qui a forcé l'entreprise suisse à modifier en partie sa stratégie de marketing.
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