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Astrid Oppliger Uribe
Doctorante

Université de Lausanne
Institut de géographie et durabilité
Mouline - Géopolis 3527
CH-1015 Lausanne
 
 
 
Tél. +41 21 692 4359
astrid.oppliger@unil.ch

Astrid Oppliger est Dr. en sciences de l'environnement de l'Institut de géographie et de durabilité (IGD) de l'Université de Lausanne.

Sa recherche doctorale à porté sur l'interface entre la science (environnementale) et l'élaboration des politiques. À cette fin, elle étudie le domaine scientifique de l'hydrologie forestière - qui étudie comment l'eau se déplace dans les forêts et les communautés végétales - et ses phases de production, de circulation et d'application des connaissances scientifiques dans l'élaboration des politiques. Elle a mené des campagnes de terrain et des entretiens au Chili, en Afrique du Sud et en Australie, étudiant en particulier les arbres de Eucalyptus dans leur environnement naturel et dans des plantations forestières productives.

Elle est titulaire d'un Master of Science en gouvernance des risques et des ressources de l'Universität Heidelberg, à Heidelberg, en Allemagne, et d'un Bachelor of Science en géographie de l'Universidad de Chile, à Santiago du Chili. Elle a également une spécialisation scientifique en développement durable, dans le cadre du programme IGS Nord-Sud des universités de Bâle, Berne, Lausanne et Zurich en Suisse.

L'élément central de sa recherche est la ressource en eau – également les côtes océaniques – et son interaction avec son environnement physique et social, sa gouvernance, sa gestion et des risques tels que la construction sociale de la pénurie d'eau. Elle s'est spécialisée dans l'hydrologie forestière pour étudier, au-delà du cycle hydrologique ou hydrosocial, comment l'eau circule dans diverses forêts, plantations, utilisations du sol et communautés végétales sous différents régimes géographiques et de gestion. Elle s'intéresse également à la gouvernance environnementale et leurs transitions; en inter- et trans-diciplinarité; aux études historiques de la science, à la production des connaissances scientifiques, à leur autonomie et aux contestations de leur légitimité.