Documentaire sur le Monte Generoso réalisé par la Télévision suisse italienne (RSI) avec la participation de Aurelio Vigani, doctorant à l'IGUL.

Pour visionner l'émission >(intervention de A. Vigani dès 00:16)

Pour visionner le reportage

> (sur http://www.tsr.ch)

Interview d'Aurelio Vigani, assistant-doctorant à l'IGUL, par Andrea Finessi journaliste au «Gionale del Popolo».

Lire l'article complet  [PDF 373 Ko].
Mis en ligne avec l'aimable autorisation du «Giornale del Popolo» (Lugano-Suisse).

A. Vigani est l'auteur d'un mémoire de Master réalisé sous la direction du Prof. G. Pini et intitulé «Transports et développement territorial dans le contexte transfrontalier de la Regio Insubrica».

Accès à la version électronique du mémoire [texte intégral]

Pour visionner le reportage > (sur http://www.tsr.ch)

«[...] c'est un tel bonheur, c'est un tel plaisir, c'est une telle réussite pour les habitants de Lausanne [...] cela vaut la peine d'articuler le développement urbain sur le transport collectif [...] cela a diminué toutes le distances entre les gens, entre les choses et les gens se réapproprient la ville de façon toute nouvelle […]»

Extraits de l'interview de Jean-Bernard Racine diffusé sur le Télévision suisse romande (TSR) dans le cadre de l'émission «Couleurs locales».

Pour écouter l'émission> (sur http://www.tsr.ch, consulté le 28.10.09)

«On perçoit désormais la pente différemment et on assiste à de nouvelles hiérarchies des quartiers par les habitants», explique Yves Bonard, doctorant assistant à l’Institut de géographie de l’Université de Lausanne. «Les stations du M2 sont par exemple devenues des micro-centralités, de nouvelles portes d’entrée de la ville, avec dans leurs alentours des commerces et des bistrots qui tournent bien. C’est l’émergence de nouvelles intensités urbaines, comme on dit dans notre jargon d’urbanistes…».

«Il y a une fluidité urbaine généralisée avec pour corollaire le sentiment que l’espace du quotidien s’est soudain tout à la fois agrandi et rapetissé à travers la découverte de nouvelles proximités», explique pour sa part le géographe et professeur honoraire de l’Université de Lausanne Jean-Bernard Racine. Le Lausannois redécouvre sa ville. A pied, grâce au métro, qu’il emprunte à la manière d’un ascenseur urbain. Pour monter et pour descendre. Avec en prime «le bonheur de fréquenter plus facilement les lieux clés de la ville comme le marché central et les richesses de la Cité», dit encore Jean-Bernard Racine, qui parle d’un «élargissement de la taille des niches écologiques de chacun».

Extraits de l'article paru dans le quotidien «Le Temps» le 24 octobre 2009.

Lire l'article complet > [sur http:www.letemps.ch, consulté le 26.10.09)

Pour écouter l'émission > (sur http://www.canal9.ch)

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«Alors quels sont les premiers résultats de ses recherches de la fin du mois de septembre? Après avoir retrouvé une armoire métallique, défoncée cet hiver par une dameuse, qui cache un trou de 20 mètres où sont installés des capteurs, Christophe Lambiel branche son ordinateur. Le constat tombe rapidement:«Le permafrost a dégelé jusqu’à 2mètres de profondeur,du jamais vu depuis 2002, depuis que l’on fait des mesures ici».

Extrait de l'article paru dans le quotidien «24 Heures» des 3 et 4 octobre 2009.

Lire l'article complet > [sur http:www.24heures.ch, consulté le 03.10.09)

«Peut-on marcher intelligemment sur le site géologique du glacier de Tsanfleuron? Oui, c'est possible depuis jeudi. En effet, la commune de Savièse, en collaboration avec Glacier 3000, l'Université de Lausanne et la société de développement, a conçu et installé quinze panneaux didactiques [cinq panneaux, NDLR] qui expliquent la formation du Karst, l'éboulement de Derborence, la quille du Diable sur le parcours saviésan du Tour du Massif des Diablerets.»

Extrait de l'article paru dans le quotidien «Le Nouvelliste» le 29 août 2009.

Yves Bonard à propos du Projet «Métamorphose» :

«On devrait surtout se réjouir de faire disparaître un parking géant»

Lire tout l'interview > (sur http://www.24Heures.ch)

«Michel Marthaler est docteur en géologie. De prime abord, un bonhomme qui consacre sa vie à l’étude des cailloux, ça n’est pas très folichon. Et pourtant, quand il commence à vous parler de gâteaux, de pâtisseries et de roulades pour vous expliquer la formation des Alpes, ça aiguise non seulement votre appétit, mais aussi votre curiosité. Et c’est l’objectif de la Via GeoAlpina. Un itinéraire didactique et international qui se calque sur la Via Alpina (…) qui traverse toutes les Alpes, de Nice à la Slovénie. En Suisse romande, c’est le tronçon entre le col de Cou (dans les Portes du Soleil) et Derborence qui est mis en valeur.»

Extrait de l'article paru dans le quotidien «Le Nouvelliste» le 7 août 2009.

Lire l'article complet > [PDF 784 Ko].
Mis en ligne avec l'aimable autorisation du «Nouvelliste» et d'Olivier Hugon (journaliste et auteur de l'article).

Toutes les infos sur le projet Via GeoAlpina > (sur le site de Swisstopo)

A propos de la «Via GeoAlpina»

«... n’y a-t-il pas trop d’initiatives similaires? Michel Marthaler rétorque: «On sent qu’il y a une demande croissante. Les offices du tourisme, les communes sollicitent de plus en plus les géologues pour des balades didactiques. Moi-même, j’ai accompagné l’an dernier le Conseil fédéral lors de son excursion estivale. En fait, la géologie est en train d’entrer dans la culture des gens.» Micha Schlup, lui, souhaite surtout que la communication soit améliorée, et que des annonces aux accents «poussiéreux» comme «Excursion géologique» soient remplacées par «Périple rocheux à travers le temps», par exemple. Histoire de rendre la géologie aussi attrayante qu’une portion de gâteau au chocolat.»

Extrait de l'article paru dans le quotidien «Le Temps» du 7 août 2009

Lire l'article complet > (sur http://www.letemps.ch)

Toutes les infos sur le projet Via GeoAlpina > (sur le site de Swisstopo)

A propos de la «Via GeoAlpina»

«L’initiative est pionnière dans la vulgarisation de la géologie: une branche scientifique réputée austère et qui n’a pas encore trouvé ses chantres populaires comme Hubert Reeves ou Daniel Cherix… «Normal, puisqu’on n’enseigne pas encore la géologie à l’école obligatoire», fait remarquer Michel Marthaler, professeur à l’Université de Lausanne, qui a élaboré les brochures de Via GeoAlpina avec son assistant, Micha Schlup. Deux mois de travail pour mettre les secrets des Alpes à la portée du premier venu.»

Extrait de l'article paru dans le quotidien «24 Heures» du 7 août 2009

Lire l'article complet > (sur http://www.24heures.ch)

Toutes les infos sur le projet Via GeoAlpina > (sur le site de Swisstopo)
      

«– Que cherchez-vous?
– Actuellement, j’enseigne surtout et je développe des méthodes pour la vulgarisation des sciences de la Terre. Auparavant, j’ai effectué de la recherche sur les mécanismes de formation des Alpes et de l’Himalaya» («24 Heures» p.35, 29.05.09).

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«Le tram, c'est bien davantage qu'un outil de transport», souligne Yves Bonard, chercheur à l'Institut de géographie de l'Université de Lausanne [...] qui a pris vigoureusement parti pour le tram dans le débat sur la façon dont sera desservi le nord de l'aggloméation lausannoise des prochaines années. Pour une raison principale : «Le tram, c'est un outil urbanistique pour requalifier les zones urbaines qu'il traverse».

Extrait de la contribution de Yves Bonard, assistant-doctorant à l'IGUL.

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Cet article est également paru dans l'édition du 6 mai 2009 du quotidien Le Courrier

 Article paru dans Le Courrier (Le Courrier diffuse ses articles sous licence CC BY-NC-ND 2.0 FR)

«La mixité sociale: voilà une idée noble, un idéal vers lequel la ville devrait tendre, synonyme de mieux vivre-ensemble. Mais comment se traduit dans la réalité ce souci vertueux des urbanistes, des architectes et des responsables de l’aménagement des villes? S’agit-il d’une mixité alibi? Qui en profite réellement?

Laurent Matthey et Yves Bonard, responsables du Laboratoire du droit à la ville des Urbanités, questionnent le caractère « incantatoire » de la mixité sociale, non pas le principe en tant que tel. “En décrétant la mixité, on ne crée pas forcément du lien social. Cela ne suffit pas de mettre des gens en co-présence. Il faut des mesures d’accompagnement et réfléchir sur le long terme”, explique Yves Bonard»

Source : Radio suisse romande - Les Urbanités    

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Emmanuel Reynard, Professeur ordinaire à l'IGUL, est l'invité de Michèle Durand-Vallade.

Selon le principe de l'émission, le Professeur Reynard a convié un invité. Il s'agit de son frère, Denis Reynard, historien aux Archives de l'Etat du Valais, dont les recherches se rapprochent de celles du géomorphologue, mais sous l'angle des sciences humaines.

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Qu’est ce que fait un géomorphologue ? A la découverte de la vie de la montagne. Les recherches du géomorphologue du Val Blenio Cristian Scapozza, doctorant à l'IGUL, dans une interview de Mara Zanetti Maestrani.

Source : Zanettti Maestrani, M. (2009, février). Alla scoperta della vita della montagna. Le ricerche del geomorfologo bleniese Cristian Scapozza. Rivista 3 valli, 33 (289), 12-13.