«Du 6 au 10 décembre 2010, les Impatients sillonnent le versant scientifique de la Suisse, pour l’opération "Labo si j’y suis ". Ils partent ainsi à la rencontre de chercheurs sur leurs lieux de découverte et d’innovation. Pour cette 4ème édition, place au Valais. Aujourd’hui, Impatience surplombe le Rhône depuis le Château de St-Maurice, à l’occasion du colloque scientifique Mémoires du Rhône. Plus d'informations sur l'émission sur le site spécial Labo si j'y suis. Une émission préparée par Sarah Dirren et Bastien Confino.» Source : http://www.rsr.ch/#/la-1ere/programmes/impatience/ (consulté le 11.12.2010)
     
  Pour écouter (ou télécharger) l'émission : (MP3/57.7 Mo) - crédit : «RTS Radio Télévision Suisse»

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«Entre réchauffement climatique, imaginaire collectif et construction politique, trois invités de Babylone vont confronter leurs regards sur les glaciers et la montagne:Nicolas Crispini, photographe et iconographe, directeur de l’exposition, Emmanuel Reynard, directeur de l’Institut de géographie de l’Université de Lausanne et Gilles Rudaz, géographe à l’université de Genève. Une table ronde menée par Anik Schuin et David Collin».

Source : http://www.rsr.ch/#/espace-2/programmes/babylone/ (consulté le 22.11.2010)
      
  Pour écouter (ou télécharger) l'émission : (MP3/51.5 Mo) - crédit : «RTS Radio Télévision Suisse»

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Les étudiants du MAS en urbanisme durable ont organisé dans le cadre de leur formation un voyage d'étude dans la ville piémontaise de Turin du 23 au 25 septembre 2010. Au programme notamment, une visite guidée du quartier multiethnique de San Salvario, connu pour ses opérations d'urbanisme participatif. A la veille de l'inauguration de la Maison de quartier, fraîchement rénovée, le Laboratoire de qualité urbaine et de participation (LAQUP) et l'Association des femmes du quartier ont présenté le processus d'information et de sensibilisation du réaménagement du boulevard Corso Marconi du point de vue de la mobilité et de la qualité urbaine dans le cadre de la nouvelle gare. Puis, le projet "verde giotto", valorisation d'un espace vert de proximité dans le cadre d'un processus de participation des associations du quartier, des commercants et d'une école primaire a fait l'objet d'une seconde présentation. Ces deux exemples ont été l'occasion d''une discussion sur les démarches participatives entre les étudiants et les représentants des associations du quartier ainsi que de la Mairie de quartier. La discussion a été suivie d'une visite accompagnée du quartier, afin d'observer in situ la dimension sociale des projets urbains, racontée par ses propres acteurs (Magali Henry, coordinatrice du MAS).

Paola Italiano, journaliste, relate cette visite aux lecteurs de La Stampa.

Lire l'article en ligne > disponible sur : http://archivio.lastampa.it/ (consulté le 5.10.2010)

«Vaudaire, joran, rebat, séchard ou dézaley? la région lémanique est balayée par une multitude de vents différents. «Allez Savoir !» vous propose de les découvrir avec Jean-Michel Fallot, un expert de l'UNIL. L'occasion, aussi, de mesurer quel est le potentiel du pays en matière d'énergie éolienne. Et là, surprise, il n'est pas aussi décoiffant qu'on l'imaginait.» (Gordon, 2010 : 52).

Télécharger l'article en PDF >

Tous les numéros du magazine «Allez savoir !» sont disponibles en texte intégral sur http://www.unil.ch/unicom/page6524.html

Bisse d'Ayent. Photo : E. Reynard

«A l’occasion du colloque international sur les bisses à Sion, voyage le long de ces canaux à la découverte de leur origine et de la distribution de l’eau. Témoins spectaculaires et techniques du patrimoine valaisan, les bisses, au-delà de leur attrait touristique, demeurent encore aujourd’hui un moyen d’irrigation irremplaçable. Pour irriguer leurs prairies et leurs cultures, les paysans valaisans sont allés chercher l’eau dans des rivières éloignées, d’origine glaciaire, pour la conduire là où elle était nécessaire. Traversant des ravins, des falaises et des forêts, plus de 250 bisses ont été construits depuis le Moyen Age en Valais. Ces canaux d'irrigation ont été primordiaux pour ce canton, peu arrosé par la pluie et pour lequel l'accès à l'eau était difficile et souvent mal réparti. Découverte du bisse d'Ayent en compagnie d'Armand Dussex, notamment fondateur du Musée valaisan des bisses. Quant à Emmanuel Reynard, professeur à la Faculté des géosciences et de l'environnement de l'Université de Lausanne, évoque les prouesses pour cette bataille pour l'eau (sic). Le colloque international Les bisses: économie, société, patrimoine est organisé par la Fondation suisse pour la protection et aménagement du paysage, et aura lieu du 2 au 5 septembre 2010 à Sion.»

Source : http://www.rsr.ch/#/la-1ere/programmes/impatience/?date=31-08-2010(consulté le 10.09.2010)
      
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Informations sur le colloque
 

«Dans le vallon de La Vare, sur la Via GeoAlpina, le géologue vaudois Michel Marthaler lit dans la pierre le très lointain passé de la Suisse. Montrez des montagnes à Michel Marthaler, il vous parlera de mer… Sur le petit parking du Pont-de-Nant, au-dessus de Bex, ce professeur de géologie de l’Université de Lausanne a la mémoire trop longue pour s’arrêter au spectacle que le commun des mortels a sous les yeux. Là où tout un chacun aperçoit la silhouette du Grand Muveran, il distingue la mer Téthys qui recouvrait la Suisse il y a 150 millions d’années. Bienvenue sur la Via GeoAlpina, itinéraire de conscientisation aux sciences de la Terre…»

Début de l'article paru dans le quotidien «Le Temps» du 9 août 2010

Lire l'article complet > (sur http://www.letemps.ch)

Les dernières infos sur le projet Via GeoAlpina (12.08.2010) > (sur le site de Swisstopo)

 «Crans-Montana (VS) / environnement: un programme national de recherche sur l'eau a été lancé ce printemps. Des chercheurs des Universités de Berne, Fribourg et Lausanne tenteront de dresser des scénarios pour l'horizon 2050 avec comme questions : y aura-t-il assez d'eau et pour quels usages ? (tsr.ch).

Illustration publiée sur le site de la RSR [dr]

 «Pendant l'été, Impatience rencontre des passionautes de la galaxie des sciences. Aujourd'hui, Cécile Guérin a écouté Michel Marthaler, géologue et tout jeune retraité de l’Université de Lausanne.
Passionné de la planète Terre, Michel Marthaler l’arpente en permanence sac au dos, une carte en main et avec un petit marteau pas loin de ses crayons de couleur.
Michel Marthaler, géologue, est totalement intarissable devant tout ce qui ressemble à un caillou. Et ce n’est pas parce qu’il est en retraite de l’Université de Lausanne cet été, qu’il va s’arrêter d’enseigner la géologie au plus de monde possible.
Dans un pays peuplé de montagnes, de glaciers et de lacs comme la Suisse, c’est pour lui une aberration que les enfants n’apprennent pas les rudiments de la géologie. Avec lui, derrière chaque caillou, il y a une histoire.

La balade commence dans les pentes raides du Lavaux, où les galets des fameuses terrasses du paysage nous viennent des Alpes il y a très longtemps»

Texte de Cécile Guérin [en ligne] sur le site d'Impatience-RTS (consulté le 14.07.2010)
      
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Pour approfondir le sujet :

Télécharger la carte «La Suisse durant le dernier maximum glaciaire (LGM) 1:500'000» éditée par Swisstopo en 2009 et dont il est fait mention dans l'émission.

Visualiser la carte géologique de la région de Lavaux (sur map.geo.admin.ch).

Lire : Pralong, J.-P. et Reynard. E. (2004). Lecture et analyse d’un paysage: Lavaux (Vaud, Suisse). In E. Reynard, J.P. Pralong (Eds), Paysages géomorphologiques, Compte-rendu du séminaire de 3ème cycle CUSO 2003, Travaux et Recherches n° 27 (pp.35-49). Lausanne : Université, Institut de géographie. [PDF]

«Maître d'enseignement et de recherche à la faculté des Géosciences et de l'Environnement de l'université de Lausanne, Christophe Mager a signé avec son collègue Laurent Matthey un article intitulé «Sages comme des images? Le leurre du marketing urbain», paru le mois dernier dans la revue Tracés. Il livre sa vision d'économiste sur le city branding, la panacée pour les uns, une imposture pour les autres. Le marketing urbain est-il porteur d'un projet de société ou, au contraire, illustre-t-il les excès de la «nouvelle gestion publique» en vogue depuis les années 1990? Christophe Mager: Le marketing urbain ne s'inscrit pas au sens strict dans la nouvelle gestion publique, car il ne croit pas aux vertus auto-organisatrices du marché. L'estimation du retour sur investissement des projets qu'il suscite est difficile, ce qui va à l'encontre de la volonté de généraliser, dans l'action des pouvoirs publics, les méthodes de gestion du secteur privé. La délégation de la gestion du marketing urbain à des entreprises ne doit pas non plus faire illusion. Elle témoigne moins du souci des administrations urbaines de gagner en efficience que de leur incapacité à définir, à l'interne, des projets de société autour de stratégies «marketées».

Source : accroche de l'interview parue dans «Le Mag»-rdv culturel du «Courrier» le 3.7.2010

Accès à l'interview en PDF>    («Le Courrier» publie sous licence Creative Commons)

Géologue et marcheur, Michel Marthaler est à l’honneur à l’occasion d’un colloque qui se tiendra à Lausanne la semaine prochaine. Trois jours durant, d’éminents spécialistes feront la démonstration de l’utilité des géosciences dans la société. «Il faudrait que la géologie soit enseignée à l’école, plaide Michel Marthaler. Les géosciences sont devenues essentielles pour comprendre toute la complexité de notre monde. Chacun devrait ainsi savoir que le pétrole qu’il prend à la pompe est âgé de 25 à 50 millions d’années!»

Source : accroche de l'interview conduite par E. Barraud

Lire toute l'interview >

Informations relatives au colloque >

«Des coraux et des huîtres sur les hauts de Château-d'Oex ? Il y a quelques jours, Michel Marthaler, professeur à l'Université de Lausanne, a emmené des randonneurs à la découverte de ce passé surprenant». Source : accroche de l'article.

Accéder à l'article en texte intégral:

1) via la «Revue de presse» de l'UNIL du 10.06.10 (p.31)

L'accès à la revue de presse est réservé aux membres de la communauté universitaire. Cette section du site nécessite une authentification préalable (nom d'utilisateur + mot de passe UNIL).

2) dans le kiosque virtuel «Pressdisplay» (journaux disponibles -> max. 60 jours après la date de leur parution)

Le kiosque virtuel «Pressdisplay» est un service payant auquel l'UNIL est abonnée depuis juin 2010 (en cas de connexion depuis l'extérieur de l'UNIL veuillez utiliser l'accès authentifié «Crypto».

«Une "labellisation" européenne pour l'Institut de géographie de l'UNIL, pionnier en Suisse de l'enseignement consacré à l'aménagement urbain»

Accroche de l'article paru dans le quotidien «24 Heures» (supplément emploi) édition du 03 juin 2010.

+ d'infos sur la labellisation >

L'article est disponible via la «Revue de presse» de l'UNIL (03.06.10, pp.39-40)

Pour des raisons de droits d'auteurs, l'accès à la revue de presse est réservé aux membres de la communauté universitaire. Cette section du site nécessite une authentification préalable (nom d'utilisateur + mot de passe UNIL).

De Swaaf, K. F. (2010, 28 mai). Eine verblüffende Entdeckung im Bleniotal zeigt: Im Mittelalter war es im Tessin im Sommer wohl wärmer als bislang angenommen. Tessiner Zeitung. p.3.

«Die Entdeckung der Piancabella-Lärche war allerdings ein glücklicher Zufall. Eigentlich wollten Scapozza und seine Kollegen lediglich den Aufbau des steinigen Gletschers untersuchen. Doch sie erahnten rasch die Bedeutung ihres Fundes, und nicht nur sie. Das “Museo cantonale di storia naturale” (MCSN) in Lugano wurde informiert. Dort entschied man sich dazu, eine aufwendige 14C-Datierung des Holzes zu finanzieren. „Wir haben sofort gewusst, dass dies etwas Besonderes ist”, sagt der MCSN-Geologe Marco Antognini. Die Datierung wurde am Institut für Teilchenphysik der ETH in Zürich durchgeführt. Das Ergebnis: Das Lärchenholz ist gut 900 Jahre alt. Unter Berücksichtigung möglicher Messabweichungen müsste der Baum zwischen 1040 und 1280 nach Christus gelebt haben. Im Mittelalter also. Weitere Details wurden vor kurzem von der internationalen Fachzeitschrift Permafrost and Periglacial Processes veröffentlicht (Bd. 21, S. 90).» (De Swaaf, 2010).

Télécharger le journal en PDF [12.5 Mo]> (édition du 28.05.2010)

ou consulter l'article en ligne

Référence de la communication parue dans la revue «Permafrost and Periglacial Processes» :

Scapozza, C., Lambiel, C., Reynard, E., Fallot, J., Antognini, M., & Schoeneich, P. (2010). Radiocarbon dating of fossil wood remains buried by the Piancabella rock glacier, Blenio Valley (Ticino, southern Swiss Alps): Implications for rock glacier, treeline and climate history. Permafrost and Periglacial Processes, 21(1), 90-96. doi:10.1002/ppp.673

Avec des images filmées face au Grand Muveran, dans les mines de Bex, au pied du Jura et au musée de géologie de Lausanne (dans le Palais de Rumine, avec la participation de Gilles Borel), nous essayons d'expliquer que les indices (comme les fossiles de coraux, des dents de poisson) d'une ancienne mer ne sont pas seulement à la surface des montagnes, mais bien à l'intérieur des reliefs. Toute la matière première des montagnes lémaniques s'est fabriquée dans la mer. Le conditions qui ont régné dans cette ancienne mer, appelée Téthys, sont comparable à l'évolution de la Mer Rouge: D'abord du sel au fond de la mer quand elle était plus étroite, puis aujourd'hui des coraux et une abondante faune sous-marine dont les restes viennent recouvrir les couches de sel. On observe la même évolution dans les roches des Alpes vaudoises et du Jura; c'était il y a 220 à 150 millions d'années....

Accéder au site Web de l'émission Thalassa pour visonner le reportage (durée 6') >
(après sa diffusion, l'émission est accessible en ligne pendant 7 jours)

Le reportage est également disponible sur le blog de l'équipe Thalassa

Pour en savoir plus >

• Marthaler, M. (2001). Le Cervin est-il africain ? Une histoire géologique entre les Alpes et notre planète. Lausanne : Editions Loisirs et pédagogie (L.E.P.). + infos sur le site Web de l'éditeur
   
• Marthaler, M. (2004). Lecture et analyse d’un paysage : Zermatt et le Cervin. Un exemple de la mémoire de la terre révélée par les panoramas. In: E. Reynard, J.-P. Pralong (Eds.). Paysages géomorphologiques, Compte-rendu du séminaire de 3ème cycle CUSO 2003, Travaux et Recherches N° 27 (pp.51-66). Lausanne : Université, Institut de Géographie. Texte intégral disponible sur Travaux et recherches IGUL

• Série d'émissions Impatience-Objectif Terre (Radio Suisse Romande-novembre 08)
  Objectif Terre 5/10 - La Suisse tropicale
  Objectif Terre 8/10 - Apparition des montagnes
  Objectif Terre 10/10 - Grottes de Vallorbe
  Pour écouter ces émissions > IGUL dans les médias 2008

«[…] Les villes sont comme des êtres vivants. Elles grandissent, elles évoluent, elles se transforment, à l'exemple de Fribourg et de Lausanne. Jadis on les fuyait, désormais on y revient. Il faut dire que les villes modernes ne ressemblent plus à ce qu'elles furent, entassement improbable de population dans les miasmes de la circulation. Elles sont devenues attrayantes au point que les Suisses, qui n'ont pas de vraie culture urbaine, découvrent les joies du "vivre en ville". Mais avec quoi faire des villes des lieux de vie définitivement agréables, des tours, des éco-quartiers? Quels équipements pour les rendre franchement désirables? Le dernier roman de Luc Lang "Esprit chien" se passe aussi dans une ville, de banlieue celle-là, Neuilly sur Seine. Une satire jouissive de la bourgeosie bling-bling. Quand la vie des gens c'est un peu comme la vie des bêtes... Invités: - Patrick Rérat, géographe - Bruno Marchand, architecte, professeur à l'EPFL - Doris Wälchli, architecte - Luc Lang, écrivain Musique live: Fiji (electro-pop/CH) On dit d'eux qu'ils sont les David Bowie de l'electro. Aux sons rifs des ordinateurs, ils ajoutent une touche sexy et des pailletes comme dans le meilleur music-hall.».
Tiré de http://www.tsr.ch (consulté le 04.05.10)

Reportage de Laurence Difélix sur le «Rhône apprivoisé»

«Après 150 ans de rectifications, le Rhône retrouvera un peu de liberté. Découverte sur le terrain et dans les archives du passé, du présent et de l'avenir du fleuve valaisan. Dans un paysage, seul le bâti paraît être l’œuvre des humains, tout le reste semble naturel… il n’en est rien. La vallée valaisanne du Rhône en est la preuve très explicite, elle qui a été maniée et remaniée depuis des siècles pour permettre des activités économiques, et protéger les hommes des crues du fleuve. Le Rhône, omniprésent il y a encore 150 ans et devenu presque absent du quotidien valaisan aujourd’hui [...].

Reportage en Valais en compagnie de Emmanuel Reynard, géographe à l’UniL et de Myriam Evequoz-Dayen, historienne et archiviste et de Alexandre Scheurer, historien. Réactions et explications en direct de Olivier Overney, chef de la Section Protection contre les crues, à l'Office fédéral de l'environnement.»

Source : http://www.rsr.ch/espace-2/babylone/selectedDate/16/04/2010/#jeudi (consulté le 16.04.2010)

Le site Web de l'émission «Babylone» (Radio Suisse Romande - Espace2)

      
  Pour écouter (ou télécharger) l'émission (MP3/49 Mo)

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Interview du Prof. A. Da Cunha, par Guy Zurkinden

«SOCIAL – Avec la crise, le manque d’emploi et la précarité augmentent. Conséquence probable: l’augmentation du recours à l’aide sociale. En parallèle, des partis politiques exigent un durcissement des contre-prestations pour lutter contre de prétendus «abuseurs». Quel est l’état de la situation, et quels sont les enjeux des débats autour de l’aide sociale? Questions à Antonio da Cunha, professeur à l’Université de Lausanne et directeur de l’Observatoire de la ville et du développement urbain.»

Lire l'article complet  [PDF 1.4 Mo] disponible en ligne sur le site du syndicat des Services publics (consulté le 23.03.2010)

Reportage de Jean-Marc Falcombello autour des travaux d'Eminor Oström,
Prix Nobel d'Economie.

«A partir des travaux d’Eminor Oström, Prix Nobel d’Economie « La gouvernance économique », Babylone part en quête de la réalité actuelle de la gestion des biens communs dans l’arc alpin du haut-Valais et du Bas-Valais et examine avec ses interlocuteurs les débouchés éventuels de gestion des biens collectifs comme le climat et la bio-diversité que peuvent inspirer les structures traditionnelles et pluriséculaires qui ont régi la vie des communautés paysannes des Alpes.

Avec Thomas Antonietti, co-auteur du Guide des musées du Valais, Association Valaisanne des Musées AVM. Sion 1998, Armand Dussex, responsable du musée des bisses, à Ayent, Emmanuel Reynard, géographe, Stéphane Nahrath, Professeur à l’Institut Universitaire Kurt Bösch (IUKB), Armin Karlen, co-directeur éditorial du livre Les bisses du Valais, Editions Monographic, Sierre, et Ruth Karlen, le papa et sa fille.»

Source : http://www.rsr.ch/espace-2/babylone/selectedDate/28/01/2010/#jeudi (consulté le 28.01.2010)

      
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«L’arrivée de 400 habitants dans quatre immeubles posés au milieu des bâtiments abritant déjà 1400 âmes fait peur. Dans le quartier de Florissant, à Renens, une soixantaine d’habitants se sont regroupés donc sous la bannière du Groupe d’intérêts de Florissant (GIF), une association qui entend défendre «un développement» harmonieux». «La qualité de vie ne doit pas être sacrifiée sur l’autel du profit des promoteurs», lâchent-ils comme un slogan.
 [...]

Densification au cœur de la ville
Pourquoi densifier un quartier déjà très populeux (207 habitants par hectare)? «La hausse de la population attendue ces prochaines années doit être absorbée par les espaces urbains et ainsi préserver les campagnes, explique Antonio Da Cunha. Après s’être étendues vers l’extérieur, les villes doivent désormais concentrer leur croissance dans leur périmètre pour garantir l’accessibilité au confort qu’elles offrent.» C’est- à-dire aux transports publics, aux services et équipements collectifs existants sur leur territoire.»

Extraits de : Ebinger, R. (2009, 13 janvier). La fronde s'organise dans le quartier de Florissant. 24 Heures (Lausanne-Suisse), p.26.